La vie au quotidien dans des quartiers défavorisés de Kinshasa est devenue intenable, à cause d’une pauvreté sans précédent qui lamine la population. Le délestage, qui ne concernait jusque-là que la fourniture du courant électrique ou de l’eau du robinet de la Régideso, touche la nourriture. Dans certains ménages, des enfants se sont partagés des jours pour s’alimenter. Il y en a qui mangent les jours pairs et d’autres, les jours impairs. La situation devient alarmante.
Dans différents marchés de Kinshasa, on assiste à un autre phénomène qui traduit la pauvreté criante. On morcelle une chikwange pour vendre les petits morceaux à des plus démunis. Il en est de même pour le chinchard. Un poisson peut être vendu à plusieurs personnes différentes. Le poulet est vendu de la même manière. Le savon, pareille.
Dans les pharmacies, on assiste à une pratique bizarre. Si un malade est incapable d’acheter la cure de la quinine, il s’arrange avec le vendeur pour s’en procurer par comprimés.
Les vendeuses des épices procèdent de la même manière. Un oignon peut être découpé en deux ou trois morceaux. La boite de tomate est divisée en deux parties pour être vendue à des clients différents, démunis.
Un article de la Prosperite
Mr. le journaliste, meme ici aux USA, il y a des poissons vendus en morceaux.
En ce qui concerne les tomates et autres legumes, cela depend de ton vouloir. il ya une balance. tu peux y mettre une tomate selon tes moyens. Meme chose avec les bananes ….
Il ne faut pas exagerer dans tes descriptions.
Le pouvoir d’achat depend d’un pays a l’autre.
Moi j’aime manger le foufou. j’achete 1 Kg de farine de mais(masango) a $5 tandis que le Meka de foufou a Kin. coute 6 FC(=$0,7).
Il ne faut pas trop crier. 2016 est juste a la porte. nous voulons voir comment les opposants que tu soutiens, vont changer la vie sociale des 70 millions d’habitants par une baguette magique. Ou tu es entrain de chercher seulement le pouvoir.
Boza na système ya lifélo veut dire, moto ézo péla mais bozo zika té! Heure moko nami tunaka soki vraiment, bino ba Zaïrois bato bo “léyisaka” Congo – Brazzaville, loléngé bo lobaka?