Présidentielle RDC 2016: Voici Pourquoi Kamerhe s’attaque à Tshisekedi – Michel Moto/UNC éclairci

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Michel Moto est le Secrétaire fédéral adjoint de l’UNC-Belgique. Cet analyste politique de formation, activiste et Combattant a rejoint l’UNC de Vital Kamerrhe, séduit par la vision de cet homme, sa modération, sa simplicité, … Concernant le doute exprimé par certaines personnes sur la nationalité de Mr Kamerrhe, il constate que jusqu’à ce jour aucune preuve n’a été apportée confirmant ce fait. Rien, aucune enquête sociologique n’a permis de démontrer qu’il avait une autre nationalité. L’UNC au sein duquel milite désormais Mr Moto est un parti congolais, partenaire d’autres groupes de l’Opposition qui dénoncent l’irréalisme du calendrier global des élections. Ils le récusent car il est difficile voir impossible d’organiser les 7 scrutins prévus en 13 mois avec un budget de plus d’1 milliard de dollars et avec des contraintes, qui sont au nombre de 27, à résoudre à la fois par le gouvernement et par le Parlement afin que ces élections soient transparentes et démocratiques. L’UNC a comme projet la refondation de l’Etat et ses Institutions (restauration de l’administration, instauration d’un service juridique impartial et équitable, …), la réforme profonde de la police et de l’armée (création d’une police et une armée compétentes, protectrices et au service de la population), l’éradication de la corruption qui sévit à tous les niveaux en RDC. Concernant, l’affaire dite de Maluku, Mr Moto annonce que son parti au lendemain des 19, 20 et 21 janvier, avait dénoncé des disparitions de militants. Il recueille au sein de la population des témoignages pour établir une liste de personnes portées disparues. A l’UNC, on se demande si il faut croire le gouvernement qui a dans ce cas bafoué la législation en vigueur en matière d’inhumation. Comment peut-on enterrer des gens sans identification, sans que soit établi un certificat de décès, sans témoins, comme du bétail! ET surtout, comment peut-on être sûr de leur nombre? Toutes ces nombreuses interrogations poussent à douter de la véracité du communiqué fait par le gouvernement. Aussi pour dissiper la suspicion qui règne à son égard une enquête devrait être diligentée par des organismes compétents. Il faudrait procéder à l’ exhumation des corps, à un comptage, à une identification ADN, et à une nouvelle inhumation dans la dignité. Enfin, on a pu voir dans différents médias que des éléments de l’armée rwandaise se trouverait en RDC. Pour Michel Moto originaire du Kivu, si cette incursion est avérée, elle démontre une fois de plus les profondes lacunes sécuritaires de l’armée congolaise

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