Dernier virage en RDC. Dialogue : Azarias Ruberwa lance un dernier cri !

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RUBERWA

«Voilà pourquoi, à ceux qui seraient encore sceptiques à mon appel, je lance un dernier cri : Venez au dialogue pour y trouver un compromis politique, dans tous les cas, et sauver notre Nation de tout péril. Aussi, notons-nous  l’intérêt particulier au processus électoral dans notre pays au sein de la communauté internationale et l’en remercions. Après tout,  c’est d’elle que nous vient le Facilitateur,  Monsieur Edem Kodjo, désigné par l’Union Africaine. Nous lui souhaitons ténacité et courage au milieu des tourments et d’incompréhension mais également,  intégrité et neutralité, valeurs qui,  naguère,  ont aidé Ketumile  Masire  à être  un bon facilitateur du Dialogue Inter Congolais. Notre souhait est de voir la communauté internationale, la région et même,  la sous-région de l’Afrique  centrale,  continuer  à s’intéresser à la résolution de la crise dans nos pays, en apportant  les ingrédients nécessaires dont nous avons besoin,  par ailleurs,  mais dans les limites de notre souveraineté. Quel que soit le résultat du consensus  qui y sera obtenu, ce résultat constituera l’Accord Politique, bien sûr,  dans le respect de la Constitution. C’est cet Accord qui, comme celui de Lusaka ou de Sun City, sauvera notre Nation, la RDC et y fera régner la paix. Jésus-Christ a dit : «Heureux ceux qui procurent la paix (artisans de la paix) car ils seront appelés fils de Dieu».  Alors, allons au dialogue pour être des artisans de la paix »,  a, substantiellement,  déclaré, ce mercredi 29 juin 2016 à l’Hôtel Béatrice, vers la Gare Centrale, à Kinshasa,  Me Azarias Ruberwa Manywa, Président National du Rassemblement Congolais pour la Démocratie,  devant les participants au  Forum des Partis Politiques, Regroupements et Personnalités Politiques en faveur du dialogue.  Remontant jusqu’aux origines, cet ex-Vice-Président qui, sous l’empire 1+4, avait la charge des Questions Politiques, lit  dans la situation actuelle, l’impasse annonciatrice d’une  crise protéiforme. D’emblée, deux temps forts de l’histoire de la RD. Congo lui reviennent en esprit. D’abord, en 1999, lors de négociations de Lusaka qui débouchèrent sur l’Accord de cessez-le-feu. Puis, en 2002, lorsqu’à Sun City, au milieu de contradictions dictées par la turbulence  des armes sur le théâtre des opérations dans le pays, au travers des rebellions ainsi que de plusieurs soubresauts,  les acteurs politiques parvinrent, au bout d’âpres négociations, à signer un Accord global et Inclusif.  En son temps, rappelle-t-il, grâce à l’Alliance pour la sauvegarde du Dialogue ainsi qu’à la compréhension de toutes les autres  parties  impliquées, le chemin de la paix fut retrouvé. Aujourd’hui encore, Azarias Ruberwa estime que  le Pays fonctionne grâce aux institutions issues de ces deux Accords ou, mieux,  du Dialogue qui en avait  résulté au milieu des impasses plus fortes que l’impasse actuelle». Qui plus, s’il a avancé ces deux illustrations, c’est pour  stigmatiser   le point central de son message. En effet, à ses yeux,  «c’est possible de tenir le dialogue politique et de faire la paix entre nous, quelles que soient les circonstances, actuelles et celles qui profilent à l’horizon et de donner au pays de nouvelles perspectives d’espoir et de paix».

Aujourd’hui, pense-t-il,  la situation politique est beaucoup mieux que celle de 1999 et de 2002.  Certes, il admet qu’il y a encore  des problèmes de pauvreté et des politiques liés à la liberté d’expression et au harcèlement des opposants. D’ailleurs,   «ces problèmes doivent, à son avis,  cesser,  justement,  parce qu’il faut rassurer et mettre en confiance tout le monde pour le bon déroulement du dialogue. Cependant, «malgré ces problèmes, aujourd’hui  les institutions existent et fonctionnent tant bien que mal, Il y a le mouvement des populations sur l’ensemble du pays, l’Etat et les institutions fonctionnent. Ce contexte actuel permet d’espérer et de discuter de façon nettement meilleure que pendant le conflit armé. Le signal d’alarme réside essentiellement,  dans le fait  qu’il ne faudrait pas mal gérer la situation actuelle et favoriser une dégénérescence que tout le monde regretterait », soutient-il mordicus, dans son discours qui, au fond, prend en compte les grandes articulations de l’évolution   politique congolaise, avec ses ratés, péripéties et  succès. Le tout dépend, à l’en croire, de la maturité des acteurs mais, surtout, de  l’intérêt qu’ils portent sur le destin de la RD. Congo. Azarias Ruberwa, à la tête du RCD, la grande sentinelle de la démocratie, ne fait, ici, qu’un pressant appel à leur sens de responsabilité face au précipice dans lequel, ils risquent, si l’on n’y prend garde, d’engouffrer  la RDC  et son peuple.

 

FORUM DES PARTIS POLITIQUES, REGROUPEMENT ET PERSONNALITES POLITIQUES EN FAVEUR DU DIALOGUE

INTERVENTION DE Maître Azarias RUBERWA MANYWA,

PRESIDENT  NATIONAL DU RASSEMBLEMENT CONGOLAIS POUR LA DEMOCRATIE(R.C.D)

Mesdames et Messieurs,

Le Forum que nous tenons ce jour revêt une importance capitale dans le cheminement de notre Pays vers la consolidation de la démocratie.

Nous  mesurons notre responsabilité en prenant la parole pendant ces instants et vous rassurons ne pas abuser de votre temps.

Au-delà  de la description de la situation actuelle qui nous prendrait beaucoup de temps,  ce dont je vous épargne, permettez-moi de  focaliser mon propos sur le plaidoyer en faveur de la tenue du Dialogue Politique National et Inclusif.

Mesdames et Messieurs,

Lorsque je vois et lis la situation actuelle dans laquelle se trouve notre Pays, situation d’impasse politique annonciatrice de crise, deux moments particuliers de l’histoire de notre Pays me reviennent à l’esprit :

  • En 1999 durant les négociations de Lusaka ayant débouché à l’Accord pour un cessez –le-feu et,
  • En 2002, lorsque à Sun city, deux parties parmi tant d’autres, ont convenu de prendre en otage le processus des négociations, qui donneront plus tard lieu à l’Accord de Pretoria qui a mis fin à la guerre dans notre Pays.

Au cours des négociations à Lusaka, alors que l’impasse était totale entre parties congolaises belligérantes et devant des acteurs extérieurs(Etats et Organisations Internationales), et devant le blocage complet de ce qu’il faudrait faire au-delà du cessez-le-feu à la ligne des fronts, la mission fut donnée  aux trois parties congolaises(Gouvernement, RCD et MLC) qui, à travers le travail de  trois jeunes congolais relevèrent le défi en  concevant  la solution à l’impasse.

Ils eurent l’ingéniosité de concevoir le prescrit du Chapitre V sous l’intitulé : DIALOGUE INTERCONGOLAIS, Chapitre qui fut le prélude des Négociations Politiques  Inter congolaises, et ce, au grand étonnement de tous les autres participants étrangers (Etats et Organisations Internationales).

La lueur de mettre au conflit armé à travers une solution apaisée était née.

Plus tard soit 3 ans après, pendant que toutes les parties du Dialogue Inter Congolais, composantes et entités étaient en pleine ferveur à la suite des débats sur les préalables et les autres questions qui fâchaient, la surprise d’un matin fut que la nuit d’avant un accord avait été trouvé entre deux parties parmi les majeures en ignorant les autres parties mais surtout, un accord trouvé  sans pour autant résoudre la crise qui elle restait intacte.

Il s’en est suivi  des mois d’aggravation de la situation et le plus dur fut le désespoir créé par cette situation dans laquelle se plongeait notre peuple.

Grâce à l’Alliance pour la sauvegarde du Dialogue Inter Congolais créée notamment par l’UDPS et le RCD d’une part et la compréhension des autres parties d’autre part, le dialogue inter congolais repris et la paix fut retrouvée.

Aujourd’hui encore, le Pays fonctionne grâce aux institutions issues de ces deux Accords, mieux du Dialogue qui en est résulté au milieu des impasses plus fortes que l’impasse actuelle.

Mesdames et Messieurs,

Si j’ai voulu commencer mon propos par ces deux illustrations, c’est pour vous signifier que le point central de mon message est celui-ci « c’est possible de tenir le dialogue politique et de faire la paix entre nous, quelles que soient les circonstances, actuelles et celles qui profilent à l’horizon et de donner au pays de nouvelles perspectives d’espoir et de paix. »

Oui, aujourd’hui, la situation politique est beaucoup mieux que celle de 1999 et de 2002 !

Certes il y a des problèmes de pauvreté et des politiques liés à la liberté d’expression et au harcèlement des opposants et ces problèmes doivent cesser,  justement par ce qu’il faut rassurer et mettre en confiance tout le monde pour le bon déroulement du dialogue.

Cependant, malgré ces problèmes, aujourd’hui  les institutions existent et fonctionnent tant bien que mal, Il y a le mouvement des populations sur l’ensemble du pays, l’Etat et les institutions fonctionnent.

Ce contexte actuel permet d’espérer et de discuter de façon nettement meilleure que pendant le conflit armé.

Le signal d’alarme ce qu’il ne faudrait pas mal gérer la situation actuelle et favoriser une dégénérescence que tout le monde regretterait.

Mesdames et Messieurs,

Lorsqu’en 2005 nous avons fait campagne en faveur du vote de la Constitution durant le référendum, nous étions loin de nous imaginer que la crise actuelle naîtrait, crise due à la non-tenue des élections dans le délai constitutionnel.

En effet, malgré la volonté maintes fois exprimées y compris par nous-mêmes de la tenue des élections dans le délai constitutionnel, il appert de constater froidement que plus nous avançons vers le jour « J » de ce délai, plus l’espoir de tenir l’élection présidentielle dans ce délai (par ce que c’est d’elle qu’il s’agit essentiellement) s’éloigne de nous.

Si par miracle elle se tiendrait à échéance, tant mieux.

Sinon, devra-t-on brûler les cases pour cela ?

Assurément non !

Et d’abord, comment en est –on arrivé là ?

Pourquoi, depuis 2006, les élections municipales et locales ne se sont  jamais tenues ?

Pourquoi les Gouverneurs, les Députés Provinciaux et les Sénateurs en tant que corps, n’ont jamais été rafraîchi à travers les nouvelles élections ?  Et à qui la faute ?

Voyez-vous le renouvellement de si tôt des Membres de l’Assemblée Nationale ?

Et quid alors, parce que c’est la question politique majeure, si l’élection présidentielle n’est pas organisée cette année, avec cette circonstance aggravante  que pour elle, interdiction formelle faite de ne pas aller au-delà de deux mandats !

Où est passé le budget des élections voté  par le Parlement durant ces dernières années ?

L’ensemble de ces questions constituent les éléments principaux du processus électoral en République Démocratique du Congo.

Pour y répondre, il faut justement aller au dialogue et y faire l’autopsie nécessaire.

En effet, parce que personne n’a, à lui seul, les réponses à toutes ces questions, le dialogue trouve son intérêt absolu.

Aller au dialogue, Mesdames et Messieurs, n’est pas signe de faiblesse, aller au dialogue n’est pas signe de lâcheté et aller au dialogue n’est pas signe de compromission.

Aller au dialogue c’est plutôt un signe d’humilité, de courage et de grandeur.

Si pour aller au dialogue, notre Pays va sauvegarder ses acquis, maintenir sa stabilité et ne pas violer la constitution, nous devons préférer y aller que de ne pas y aller.

Aussi, une chose est de vouloir aller au dialogue, une autre c’est de savoir quoi aller y faire.

C’est ici que se pose la question de bien préparer les cahiers de charge et de ne pas anticiper en voulant donner des réponses aux problèmes qui seront étudiées justement pendant le dialogue.

Cependant, aller au dialogue c’est aussi assainir le climat politique et créer la confiance entre acteurs politiques et sociaux.

Qu’il s’agisse des leaders des partis  politiques ou des animateurs des ONG des droits de l’homme, l’on sent des plaintes et des inquiétudes par rapport à leur liberté.

Il est donc impérieux que les tenants du pouvoir public rassurent les uns et libèrent les autres.

Mais dès à présent, il est aussi impérieux d’adapter nos langages et attitudes en les adaptant au climat de pré-dialogue. J’en appelle donc à la volonté politique dans tous les camps à cet égard.

Cela va de pair avec l’accès aux médias publics.

C’est aussi dans le même registre que l’on devrait inscrire l’indépendance de la justice.

Mais à quoi tout cela servirait si la CENI, structure qualifiée pour l’organisation des élections n’avait pas de fonds pour organiser celles-ci, ni d’indépendance dans son fonctionnement ?

Il faut donc y pourvoir pour permettre à la CENI d’organiser  les élections libres, transparentes et démocratiques.

Et le facteur temps ?  C’est au Dialogue de l’apprécier.

Par ailleurs, nous notons avec satisfaction des avancées significatives de parties anciennement réfractaires à l’idée du dialogue politique.

Même si leur adhésion à cette idée est encore entourée de beaucoup de préalables au risque de rendre le dialogue impossible, nous croyons néanmoins en leur dépassement pour que ce dialogue tant attendu commence.

Car, ce qui compte à la fin de tout c’est la paix et la prospérité pour notre peuple.

Mesdames et Messieurs,

En fin, l’on ne saurait clore ce mot sans rappeler l’intérêt qu’il y a à clôturer le dialogue par un Accord Politique sur les questions qui vont en constituer l’ordre du jour.

Récemment, la Cour Constitutionnelle a rendu un Arrêt qui pour certains, règle les problèmes soulevés par la non tenue éventuelle de l’élection présidentielle à la fin de cette année alors que pour d’autres, la question reste intacte.

Certes, la Cour a réglé à sa manière la question de la légalité mais de nos jours légalité  va de pair avec légitimité pour résorber la crise.

Voilà pourquoi, à ceux qui seraient encore sceptiques à mon appel, je lance un dernier cri : Venez au dialogue pour y trouver un compromis politique, dans tous les cas, et sauver notre Nation de tout péril.

Aussi, nous notons l’intérêt particulier au processus électoral dans notre pays au sein de la communauté internationale et l’en remercions. Après tout,  c’est d’elle que nous vient le Facilitateur Monsieur Edem KODJO, désigné par l’Union Africaine.

Nous lui souhaitons ténacité et courage au milieu des tourments et d’incompréhension mais également,  intégrité et neutralité, valeurs qui,  naguère,  ont aidé MASIRE à être  un bon facilitateur du Dialogue Inter Congolais.

Notre souhait est de voir la communauté internationale, la région et même,  la sous-région de l’Afrique  centrale continuer  à s’intéresser à la résolution de la crise dans nos pays, en apportant  les ingrédients nécessaires dont nous avons besoin,  par ailleurs,  mais dans les limites de notre souveraineté.

Quel que soit le résultat du consensus  qui y sera obtenu, ce résultat constituera l’Accord Politique, bien sûr dans le respect de la Constitution.

C’est cet Accord qui, comme celui de Lusaka ou de Sun City, sauvera notre Nation, la RDC et y fera régner la paix.

Jésus-Christ a dit : «Heureux ceux qui procurent la paix (artisans de la paix) car ils seront appelés fils de Dieu».

Alors, allons au dialogue pour être des artisans de la paix.

Je vous remercie.

Me Azarias RUBERWA MANYWA

Président National du Rassemblement Congolais pour la Démocratie ((R.C.D)

Un article de la Prospérité

7 COMMENTS

  1. maitre Azarias ruberwa maniwa ! il n’est plus temp de long discour.
    – Azarias ; reunissez votre courage entant que ex-vice-president de la RDC dit tout haut a ton frere kabila il est de nord kivu come vous de :
    – respectez la constitution .
    – ne pas tue le congolais pour s’accrochez au pouvoir.
    – en 2003 ; il a dit : si kabila ne dirige pas la transition pas de negotiations.
    -vous avez respectez cela.
    – 2006 il a trichez les elections ; ok.
    – 2011 ; coup de force . il ya eu meme des morts ; non problem.
    – pourquoi 2016 il faut un compromis politique a son egard ?
    – pourquoi les autres ont acceptez et lui ne peut pas acceptez de kuitte le pouvoir ?
    Azarias : dit a kabila ; c’est a lui k’il faut lui dire k’il devienne aussi partisan de la paix.non a la population k’il tue jour et nuits.
    – k’il nous poussent pas a lui egrener tous les maux k’il nous a commis depus k’il est au pouvoir.
    Retenez nous n’avons pas une courte memoire . et nous n’avons rien oublier.
    – dans la paix demande-lui entant ton frere congolais de la meme province de quitter gentiment le pouvoir.
    – il nya que les imbeciles ki ne changes pas.bandes de traitres.

  2. Azarias : dit a kabila dans n’importe quelle langue ke tu connais k’il peut bien t’entendre.dit utilise aussi ton intelligence ta sagesse.fait ton effort pour le convaincre come tu convains les magistrats et juges pendants les procets. k’il parvienne a komprendre .
    – realise k’il na personne dans son entourage ki peut lui dire cette realite de choses.
    – ne comptez pas sur mende ke tu conais bien depuis k’il etait a tes cotes.
    – adresse toi directement a kabila de kuitte le pouvoir pas au compromis politique.
    il nya que les imbeciles ki ne changes pas .bandes de traitres.

  3. Azarias : dit a kabila dans n’importe quelle langue ke tu connais k’il peut bien t’entendre.dit utilise aussi ton intelligence ta sagesse.fait ton effort pour le convaincre come tu convains les magistrats et juges pendants les procets. k’il parvienne a komprendre .
    – realise k’il na personne dans son entourage ki peut lui dire cette realite de choses en face.
    – ne comptez pas sur mende ke tu conais bien depuis k’il etait a tes cotes.
    – adresse toi directement a kabila de kuitte le pouvoir pas au compromis politique.
    il nya que les imbeciles ki ne changes pas .bandes de traitres.

    • Ruberwa, c’est vrai je peux confirmer que vous êtes un traire. Vous l’avez bien dit et confirmé d’être un rwandais tutsi dans un interview que vous avez accordé à notre frère Marius, vous rappelez-vous encore de ça? Le Congo, la terre de nos ancêtres, pas les vôtres, vous a accueilli à bras ouverts, vous ont donné la terre pour cultiver, paître vos moutons, chèvres et vaches, les mêmes personnes qui vous ont rendue service, vous les avez tuées sauvagement, enterrées les femmes en ceintes vivantes, ah ah Ruberwa, est-ce que votre conscience est vraiment tranquille? Dites à votre petit frère alias Kabila Joseph, un nom d’emprunt qui lui a été donné par les Congolais, de plier ses bagages et de prendre la poudre d’escampette direction Rwanda y compris vous aussi car il y aura bientôt chasse aux Rwandais de mauvais goût. Wait and see.

  4. LE KONGO DIEU TOUT PUISSANT LE DIEU CRÉATEUR DIEU DE L’ORDE,AVAIT DONNÉ A UN PEUPLE SPÉCIFIQUE APPELÉ KONGOLAIS! PAS DE COMPROMIS A FAIRE POUR CELA!!!!!

  5. RUBERWRA VOUS CITEZ LE NOM DU SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST POUR IMPRÉSSIOMER QUI? NE SAVEZ-VOUS PAS LE DIX COMMENDEMENTS DE DIEU EN CE QUI CONCERNE N`ENVIER PAS, NE VOLER PAS, NE COMMETER PAS LE MEURTE? CE QUE VOUS LES RWANDAIS VOUS FAITES ENVERS CEUX QUI VOUS ONT HEBERGER HIER EST-IL CORRECT DEVANT DIEU? L`HISTOIRE VOUS JUGERA!!!!!!!!!!!!

  6. Ruberwa, c’est vrai je peux confirmer que vous êtes un traire. Vous l’avez bien dit et confirmé d’être un rwandais tutsi dans un interview que vous avez accordé à notre frère Marius, vous rappelez-vous encore de ça? Le Congo, la terre de nos ancêtres, pas les vôtres, vous a accueilli à bras ouverts, vous ont donné la terre pour cultiver, paître vos moutons, chèvres et vaches, les mêmes personnes qui vous ont rendue service, vous les avez tuées sauvagement, enterrées les femmes en ceintes vivantes, ah ah Ruberwa, est-ce que votre conscience est vraiment tranquille? Dites à votre petit frère alias Kabila Joseph, un nom d’emprunt qui lui a été donné par les Congolais, de plier ses bagages et de prendre la poudre d’escampette direction Rwanda y compris vous aussi car il y aura bientôt chasse aux Rwandais de mauvais goût. Wait and see.

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